Ilot Falstaff et rue des Pierres : comment des mécanismes urbanistiques incontrôlés conduisent in fine à la disparition du patrimoine et du logement

Ilot Falstaff et rue des Pierres : comment des mécanismes urbanistiques incontrôlés conduisent in fine à la disparition du patrimoine et du logement

En cette période de « Plaisirs d’hiver », l’ARAU a souhaité revenir sur l’image de Bruxelles que le centre ville donne aux touristes à travers deux dossiers emblématiques du Pentagone situés dans le même îlot : le dossier dit « Falstaff » du nom du célèbre café Art Nouveau de la rue Maus et le dossier dit du « Capital Corner » du nom du magasin d’affiches situé à l’angle de la rue des Pierres et du boulevard Anspach. En 2000, dans une conférence de presse intitulée « 20 chancres à rénover dans le cadre de Bruxelles 2000, capitale de la Culture », l’ARAU mettait déjà en exergue le fait que leurs propriétaires respectifs les laissaient à l’abandon. Que s’est-il passé depuis ? Ces deux ensembles, situés en zone d’habitat du PRAS, vont-ils revenir au logement ?

Plan de l’analyse

La situation avant les années 2000, de l’animation à l’abandon

    1. « Îlot Falstaff » : comment l’Horeca peut vampiriser une rue
    2. « Capital Corner » : comment le commerce peut vampiriser le bâti

Les intentions contradictoires dans les années 2000 : des logements sociaux à l’horeca de luxe..

    1. « Îlot Falstaff »: des recommandations qui n’en sont pas
    2. « Capital Corner » : le mirage du logement social

Les permis et travaux dans les années 2010

    1. « Îlot Falstaff » : les permis contestés
    2. « Capital Corner » : l’Horeca va-t-il réhabiliter l’habitat ?