Cité administrative de l'État : la Ville laisse les promoteurs improviser

Cité administrative de l'État : la Ville laisse les promoteurs improviser

L’ARAU estime que le projet de logements sur l’immeuble C est une bonne chose, d’autant qu’il s’agit d’une sorte de « première » (reconversion partielle d’un immeuble de bureaux en logements). Mais la demande permis sur les immeubles D et F doit être revue car elle n’intègre pas de logements alors que la demande de permis pour l’immeuble C en intègre, ce qui est la preuve que c’est possible. De plus, le périmètre de la demande doit être élargi pour intégrer les nouvelles liaisons entre le bas et le haut de la ville dont le demandeur fait état dans sa note explicative. L’ARAU appuie le principe d’une liaison ouverte, visible
et directe. L’ARAU demande au moins 50 % de logements répartis sur l’ensemble du site, soit bien plus que les 35 % minimum demandés par le PRAS.