[Article de Vincent Carton paru dans la Revue Politique]
Après des décennies d’adaptation de la ville à l’automobile, de plus en plus de voix se font entendre pour rappeler que la rue est à tous et qu’un espace partagé mais donnant la priorité aux plus vulnérables constitue le concept d’aménagement le plus riche : sûr, durable, sain et agréable. Comment en est-on arrivé là ?